Année 2011
Croatie, au revoir
Superbe semaine, la croatie vaut la peine, même si il y a peu de vent. (226 miles nautiques, dont 91 au moteur)
Par contre, il faut vraiement vernir en sept ou oct, car en été, la haute saison, cela doit être infernal avec le monde dans les mouillages.
Croatie : du 10 au 17 septembre 2011, Voilier “Gin Tonic” Sun Odyssey 39 i; (10.8 m 7.3 tonnes 40cv).
Le 17, après la remise du bateau, ou a visité Split avant le retour en suisse par le vol du soir.
Hvar, Milna, et retour à Split
16/09, il est temps de rejoindre la marina de Split.
Sur le trajet, ou fait un tour dans le port de Hvar
EN passant, un magnifique petit mouillage pour se rafraichir un peu plus loin.(43 11.0N 16 24.4E )
Puis passage par Milna vers 15h, pour le plein de diesel. Il y avait du monde, longue attente an jouant du moteur pour rester dans la file d’attente, an gérant la dérive due au fardage. Arrivée à Split peu après 17h.
Changement de plan
Moteur… pof pof pof, il s’arrête. La pendille c’est prise dans l’hélice, et l’arbre. Lionel et Jacques plongent, mais impossible de dégager. Finalement le plongeur de la marina y parvient, avec un couteau, et une pince pour sortir les brins qui sont restés coincés. Après 33 mn, on parvient au nouveau mouillage choisi, Lovisce (43 05.7N 16 42.4E)
Quelle chance, c’est une magnifique baie avec 3 anses, on trouve un coin très tranquille. Le plus joli mouillage de la croisière. Des bouées sont disponibles. D’ailleurs, à peine amarré qu’un zodiaque nous aborde et demande 100 kuna pour la nuit (16 CHF). Heureusement que l’on est hors saison.
Koracula
14/09: on quitte ce beau mouillage, en direction de l’ile de Korcula.à la marina Koracula
avec un mouillage à 14h à Porto Buffalo (O. Korcula) pour le repas de midi et baignade.
Mouillage à Luka Veljii Lago
13 septembre,:
Départ de vis, on en profite pour se rafraichir “en route”
Arrivée au mouillage U. Kremena , Luka Velji Lago, ouest de l’île de O.Lastovo après environ 43 nm
Apéro au “Planteur” (Ruhm), tomattes mozarella, et comptes de la caisse de bord pour Lionnel.
Arrivée a Vis
Jour 3 12/09:
Petite journée. On quitte le mouillage Uvala Sesula et on rejoins Vis vers 15h., après environ 29 nm
On s’amarre à Quai, avec une pendille comme d’habitude en Méditerranée; certains sont plus gros que nous.
Un coups d’oeil au bulletin météo du coin (sans commentaire sur le niveau de détail)
Et repas dans le seule restaurant raisonnable avec de la place
.
Croisière Croatie, mouillage Uvala Sesula
Croatie, un rève de croisière : le beau temps, les mouillages parmi les multiples iles, …
Une réalité ce samedi 10 septembre : Départ avec easyjet pour split.
Arrivé à la narina ACI à Split le jeudi soir. Comme il est tard, l’agence de location Euromarine nous a laisser le voilier ouvert, nous ferons le checkin le lendemain matin
Nous retrouvons dont notre voilier , “Gin Tonic”, un Sun Odyssey 39 i; (10.8 m 7.3 tonnes 40cv)
Dimanche 11/09: Après avoir fait l’inventaire, contrôler les voiles, complété l’avitaillement commandé à l’avance et livré sur le voilier, c’est le départ, on laisse la marina et la ville de Split derrière nous.
Après 25 miles nautique , on arrive dans une première crique magnifique, sous un grand soleil, de l’eau à 26 degrés.
Notre premier mouillage de la semaine, à Uvala Sesula à l’ouest de l’île de Solta Maslinica.
Le mouillage est intéressant, on doit tirer une aussière à terre. Lionnel suate à l’eau pour rejoindre la terre.
Après l’apéro, le repas, sur le pont.
J’en profite pour vous présenter l’équipage :
Dans le cockpit : Martine, Lionel, Pierre notre skipper, et à la cuisine : Jacques, Roland
Armor Cup Orange Juillet 2011
Armor Cup (http://www.armor-cup.com )
Equipage suisse 2, sur Grand Surprise.
Classement general 10e sur 34 bateaux, en 7 régattes
Bol d'Or 2011 – partie 2
Jour J : samedi.
Selon la Meteo, il y aura du vent, 3-4bf minimum et plus en fin de journée; la pluie qui devrai stopper vers midi ( plus ou moins juste, mais la nuit cela reprendra de plus belle)
Bon, on est sur le départ, on sort du port, vent du sud ouest, cela va nous faire avancer vite et sous spi. Sur la ligne, c’est chaud… Bien différent de l’année passée.. On frôle quelques voiliers, on vire souvent, on prépare le spi.
Au coup de canon, c’est magique, tous le monde prend le même cap et hisse le spi.
Évidement on fait de même, et flute… Petite erreur de préparation, le bras de spi passe sous la filière et tire sur le chandelier. Ca devient chaud.
Je vais devant avec un bout, un noeud de chaise dans l’oeillet, et on frappe un bras en parallèle à l’existant, ce qui nous permet ensuite de remettre comme il faut le bras de spi, de le sortir de sous la filiėre, et de le mettre comme il se doit. Bon, pas facile sous la pluie, et le vent, on a du s’y reprendre a deux fois, et comme pour y voir j’ai baissé la capuche j’avais ensuite l’eau dans le cou et t-shirt humide. Le chandelier à un peu subit, une vis s’est arrachée.
Sortie du petit lac très rapide, sans comparison avec l’année passée.
On est sous spi jusqu’au large de meillerie. Le vent se renforce, et Jean Loïc assure un bon moment avec les voiles en ciseau sous un grain face à des rafales de vent à plus de 20 kn. Ensuite le vent tourne, et au fini au prés pour passer la bouée et le chaland ( on a du se reprendre 2 fois car on était déporté )
Yes, passage à 20h22, deux fois plus vite que lors l’année précédente, avec un magnifique arc en ciel qui indique la barge.
On fête cela avec un verre de rosé ( Special genevois de la “cave” du beau-frėre) en tentant de revenir sous spi, mais le vent tournant sans cesse, impossible de le maintenir.
La nuit tombée, que un nouveau grain se lève rapidement. On est obligé de prendre 2 ris, et génois roulé 1/3, et on passe devant meillerie, de nuit, sous la pluie, avec des vents de 25 kn. ( on fini même par rouler presque complètement le génois).
A minuit on est pas loin d’Evian, mais toujours avec les rafales de vent, auquel s’ajoute maintenant de la houle, Alexandre ne dis pas un mot, il est plutôt prostré sans trop réagir à ce qui se passe, et le reste de l’équipage est aussi fatigué. Difficile aussi dans ces conditions aussi de se reposer en cabine, même si on le voulais ca serai impossible de réellement dormir. je sens aussi le froid malgré la polaire.
Au mieux, on est à Genève vers les 8 h du matin, sachant que le repos est impossible, les risques augmentent. On a déjà entendu à la VHF qu’un voilier à démâté, un autre à un équipier tombé à l’eau, mieux vaut donc jouer la sécurité en ne pas chercher nos limites, le risque d’accidents grave est réel. Je décide donc de prendre cap sur Ouchy. Philippe prend la barre, et on rentre vent de travers avec une houle tout le long.
Évidement, on ne trouve plus la clef du moteur, l’intérieur du bateau étant sens dessus dessous.
On rentre à la voile et la pagaie, et on se met à la place visiteur, vers 1 h du matin. Tanya nous y retrouve et nous ramène à la maison, Jean-Loïc dors sur le bateau.
Dimanche, je trouve l’équipe vers 13 h au bateau, ils on déjà commencer le nettoyage. Ca prend toujours plus de temps que prévu, et of course il reste “plein” de nourriture.
Leçons pour l’année prochaine : gérer le sommeil, plus d’habits chaud, moins de nourriture inutile.
Ha oui, le résultat ? Passage du Bouveret à 20h22, soit après 10h20 de course et xx miles..
Bol d'Or 2011 – partie 1
Juin 2011, la période du bol d’or…
Pour notre seconde édition, on avait prévu le même équipage, avec Alexandre ( un ami de Philippe) à la place d’Antoine qui ne pouvait pas se joindre à nous.
Alexandre n’ayant jamais navigué, nous avons fait quelques sorties d’entrainement, dans lesquelles on a généralement eu du beau temps et peu de vent. Le vendredi de la semaine précédent le bol, Tanya a malheureusement eu un pépin à un doigt et est à l’assurance, donc impossible de participer. Je contact donc Jean-Loïc, un collègue de orange qui navigue et est intéressé, il nous rejoindra le samedi à Genève.
Jour J-1: vendredi
Tanya a organisé les courses, on se retrouve à Ouchy; petit dej au movenpick, puis on charge le voilier ( charger est le mot juste, elle nous a gâté, on a pour 360 francs de nourriture, plein de gâteau, de charcuterie, … c’est bien loin d’un simple sandwich).
Départ avec du soleil direction genėve.
Un peu de vent au début, jusqu’au large de Saint-Prex, mais ensuite on doit mettre le moteur. Arrivée à Genėve vers 18h, cette fois sous la pluie; merci à la meteo changeante en cours de route.
On recupėre la feuille de route, les autocollants ( numéro à coller sur la coque), une bouteille offerte, etc… Les autocollant se révèlerons impossible à coller sous la pluie, on sera obliger d’en chercher des neuf sec que l’on colleras en cours de rebatte lors d’une éclaircie.
Je profite le soir des facilités familiales pour un vrai repo et ma soeur me prête sa voiture pour retrouver la nautique le lendemain, merci beaucoup.
Équipage : Alexandre, Jean-Loïc, Philippe,André
Retour et bilan
Dimanche, le jour du retour. Après le petit déjeuner, et le nettoyage du bateau, direction la gare pour prendre le train de 12h20 , et arrivée à la maison vers 23 heures.
Petit récapitulatif nautique de cette semaine : (Miles parcourus / loch à l’arrivée / force vent )
30/4 Déplacement en train, avitaillement ( – / 4160 )
1/5. de Lorient au port du Crouesty ( 20 nm / 4180 )
2/5 du Crouesty à Vannes (38 nm / 4218 )
3/5. de Vannes au Mouillage dit port Kerel, sur Belle-Ile(34 nm / 4252 )
4/5 du mouillage Port Kerel à Port Tudy sur l’ile de Groix ( 37 nm / 4289 )
5/5 de Port Tudy au port de la Trinité dans la Bais de Quiberon (37 nm / 4326 )
6/5. du port de la Trinité à Port Haliguen (18 nm / 4344 )
7/5 de Port Haliguen, Régate Tour de Belle-Ile 2011 – à Lorient ( 98 nm / 4443 / 6-7 Bf)
8/5. Voyage retour
Total parcouru, 283 miles nautiques (de surface, basé sur le loch, et non pas sur le fond- gps)
Caisse de bord 235 euro
Régate – Résultat
Tour de Belle-Ile 2011, 486 bateaux sur une même ligne au départ sur cette quatrième édition.
Le vainqueur, Sébastien Josse et ses cinq équipiers ont bouclé les 41 milles du parcours en 2h42 sur leur trimaran de 77 pieds, Gitana 11 , et etabli le record du Tour de Belle-Ile.
Nous, Loïck, Michel, Philippe et André sur Meameame, avons bouclé le tour en 7h52 (classement “Classe Libre” ) sur 151 arrivé dans la classe libre (en 15h07).
C’était une expérience superbe, surtout tenant compte des conditions de vent frais à grand frais, force 6 – 7 Beaufort. Merci Loïck.
La Régate – Tour de Belle Ile 2011
C’est le jour de la “Cerise sur la gâteau” de cette semaine, on participe à la Régate du Tour de Belle Ile 2011
Départ de Port Haliguen pour rejoindre la zone de départ, elle se trouve à proximité de la Souris, situé dans la baie de Quiberon près de la Trinité. Le départ à été retard à 11h, puis 11h30, avec un vent su sud de 25 nœuds, rafales à 30. Mer agitée, ciel couvert et de la pluie de temps en temps pendant toute la régate.
Plus de 450 voiliers on pris le départ. Sur la VHF on entendait beaucoup d’abandons, probablement due à des collisions et de la casse. Le départ était chaud et le goulet du passage de la teigneuse à la sortie de la baie aussi.
Dès le départ Sous Solent et GV avec 2 ris, lors de la descente du coté ouest de l’ile on est au près, forte gite (j’ai même glissé et me suit retrouvé dans les filières avec une jambe dans l’eau lors d’un virement).
Au passage du ponant on était proche d’Europe, le second voilier de Loïck, mais ensuite sur le bord de près
on a bien pris de l’avance et rattrapé passablement d’autres voiliers. Europe lui a abandonné après la balise de danger de la truie, car ils avaient un équipier malade.
De notre coté, on a hésité tenant compte de l’heure tardive, mais des que l’on a pris le bord de portant, lorsque l’on a passé la point sud de l’ile, et envoyé le spi, notre vitesse nous de 9-10 noeud et l’esprit régatier nous encouragea a continué. On était aussi plus à l’aise à cette allure. C’est aussi très gratifiant de passer devant les autre bateau petit à petit et intéressant de voir l’importance des réglages fin de voiles.
Une fois la corne de brume de la ligne d’arrivée entendu, 19h30, après presque de 8 heures de course, on a directement affalé et nous sommes reparti en direction Lorient.
tenter le passage part un coin délicat entre rochers, mais qui a raccourci significativement le temps de rentrée, en nous évitant le détour par la Teignouse.
Ensuite sous spi lors de la remontée au nord on est monté à près 11 nœuds au portant avec quelques beau surfs on arrive à Lorient à minuit; on se met à couple d’Europe qui est déjà là, et on est finalement couché vers 1 heures du matin.
de la Trinité à port Haliguen
Au port de la Trinité, le matin, tranquille, on gère les inscriptions. Loïck reçoit aussi des afficheurs tacktics que l’on installe. J’en profiter pour rédiger les usuelles cartes postales.
On part ensuite pour un petit entrainement, d’autant que le vent souffle fort, un bon 5 Bf. On prévoit de passer la nuit à Port Haliguen; car on pense que le port sera mieux situé pour l’emargement avant la regatte le lendemain, et moins fréquenté. On y arrive trop tard pour faire les courses, tant pis, on mange une pizza a la pizzeria du coin et j’irai le lendemain acheter du pain et du jambon chez l’épicier du coin pour les sandwichs pendant la course.
Port Tudy à la Trinité
Départ vers 10 heures de port Tudy et arrivée au port de La Trinité sur Mer, à 18h15. Il était important d’arriver à ce port jeudi soir, car le lendemain, vendredi, il faut s’inscrire et s’annoncer pour la course du tour de belle ile.
Le phare de la Teignousse
l’île de groix
On prend notre temps le lendemain, départ vers midi
pour rejoindre port Tudy, sur l’île de Groix.
Sur le trajet on fait une courte halte par Lorient, une courte escale au port afin de faire les courses et permettre a Loïck de passer à la poste. Port Tudy est un Petit port très sympathique; situé à 7 NM de Lorient, il est souvent la destination des plaisanciers amateurs en Week-End.
Mouillage port Kerel
Le 3 mai, on repart le matin de vanne, le long du chenal, et on retraverse le golf du Morbihan. Les courant dans le golf sont fort et on sent très bien la dérive à la barre.On traverse la baie et on passe par le passage du Beniguet , direction Belle ile.
On profite en chemin de déguster le poulet préparé la veille au four.
Mouillage à port Kerel pour la nuit. (Note : le nom est inaproprié, il s’agit d’un mouillage et une plage très prisée; il n’y a pas de port) dans le coté sud de belle-ile, a port kerel. Temps agréable, pas de pluie, et fabuleux lever de soleil le matin.
Du Crouesty à Vanne
Cette journée loïck nous propose d’aller à Vanne.
On quitte le port et on traverse le golf du Morbihan. Je ne connaissait pas,et je doit dire que le golf, c’est magnifique. Pleins de petites îles et ilots, de petite plage, avec des villages. Vraiment un endroit idéal pour des vacances et balade en voilier. Malheureusement, en été, plein de monde fait comme cela et selon Loïck cette période est tout bonnement invivable, les mouillages et port sont saturés de bateaux.
Pour la navigation aussi c’est superbe, car avec la forte marée autour des îlots il y a énormément de courants contraires qui se rejoignent et forment de superbes figures sur l’eau.
Un pont tournant bloque aussi le passage, et est ouvert sur demande et uniquement aux plages horaires permit par la marée. (dans le chenal: hauteur d’eau 2.80 , tirant d’eau 2.20m, marge 60 cm.. (passage à marée haute )
Pour entrer dans le long chenal qui mène à vanne , il faut respecter les horaires de marrées, afin de rejoindre le port de plaisance.
Vannes est une très jolie ville.
De Lorient au Crouesty
Départ de Lorient. Lorient est un grand port de commerce, de plaisance, et aussi anciennement une base de sous marin construite pendant la guerre; la sortie nous permet de voir d’anciens vestiges de cette période.
On descend le long de la cote, puis on entre dans la baie de
Quiberon, via le passage de la Teignouse.
Il faut bien respecter les balises car les récifs sont très présent; ils nous faudra chaque jours prendre note des heures de marrée pour passer en sécurité.
Quote: “Le passage de la Teignouse proprement dit (fonds > à 20 m.) n’offre qu’un étroit goulet de -0,5 à 1,5 mille de large- pour vider ou remplir plusieurs millions de m3 d’eau toutes les six heures ! Il en résulte un phénomène de venturi important provoquant des courants violents atteignant en vives-eaux plus de 4 noeuds à certains endroits, surtout lorsque le vent est de la partie. Ce même phénomène d’accélération hydrologique se retrouve au niveau de l’entrée du golfe avec des vitesses supérieures à 6 noeuds”
Après la traversée de la grande Baie de Quiberon, on entre dans le port du Crouesty. Le port est très sympa et semble relativement neuf; construit il y a une 40′ années à destination touristique, le port de plaisance, peut abriter 1500 bateaux de plaisance sur pontons ce qui en fait le plus grand port de plaisance de Bretagne.
Lorsque l’on arrive vers 17h, on a droit à un ciel qui est maintenant bien dégagé et on pourra même se mettre le short, une des rares fois sur cette semaine.
Déplacement à Lorient
Longue journée de train de prévu. Je retrouve Michel à la gare de Lausanne pour le déplacement en TGV jusqu’à Loriant via Paris.
Michel est un équipier qui vient de suisse, il a passablement d’expérience et navigue depuis plus de 10 ans, il possède un superbe voilier à Estavayer.
Philippe le 3ème équipier qui vient en voiture de France, nous rejoindra directement a Lorient, à temps pour faire les courses.
On retrouve Loïck sur son nouveau Bavaria match 35, nommé Meameame. (J’apprendrai plus tard que Meameame vient de “mesa mis, mes amours, mes emmerdes”, chanson de C. Aznavour) . Europe, le voilier des années précédentes, est maintenant disponible pour la navigation en flottille. Ils nous accompagnera, barré par Roland, un allemand qui a déjà souvent fait des stages avec Loïck et qui a cette fois monté lui même un équipage et se lance comme chef de bord. Ils participeront aussi à la Regate du tour de belle-ile, ce eui nous donnerat souvent l’occasion de comparere les performences respectives des 2 voiliers.
Meameame et Europe différent en effet légèrement; Meameame a été le premier Bavaria 35
match utilisé par le chantier afin de démontrer les capacité de la série, il a en conséquence été optimisé régattes avec une quille plus fine mais 2m20 de tirant d’eau au lieu de 2 mètre.
Le soir, la traditionnel “soirée crèpes dans le carré” du premier soir nous attend.
